samedi 23 janvier 2010
nos nuits
Seulement au moment ou les combats cessent
que ses poings sont devenus des mains
Je sens que je peux l'embrasser tendrement
Cette joue enfantine..moite de nuit
Dans sa nuit je peux entrer
les mots qui blessent, qui arrachent
sont profondément endormis
Ces déchirements sont bercés
par l'oubli qui s'est posé
Le miroir de son enfance s'est brisé
Mon reflet a été emporté par sa vie
qui explose en mille lieux ailleurs.
Que la nuit pour se dire encore je t'aime
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19 commentaires:
je me revoie lors des 17 ans de ma grande fille, le passage le plus difficile dns ma vie de mère...
aurait tu des interrogations chère Noèse?
je pense fort à toi je t'ai longuement répondu sur ma guyane
amitiés sincères
c'est beau et doux, serein et sauvage comme l'océan.
superbes images dans ces mots Noeses,je reçois celle ou l'on essaie de s'approprié pour soi intimement, ces étapes de vies qui s'effacent trop vite...
belles pensées Noeses,et belles journées
Esquisse
Merci LM et esquisse de passé chez moi..J'apprécie ces petits pas:)
Et toute la vie encore pour le dire, encore et encore...
je viens juste te dire que je pense très souvent à toi...
Nanou est là....Clara, on a fini par la tuer définitivement...une perte pour moi....que faire !
je t'embrasse chère Noèse
le 25 je pars passer 1 mois en Guyane voir TOUS mes amis, tu sais, ceux qui sont toujours là et ne jugent jamais ...oui...çà existe
à bientôt
Quelle vie que la tienne nanou..la guyanne durant 1 mois!!! Profite de tout.,..ne laisse aucunes miettes:)
amitié
xxxx
Le bonheur, c'est du chagrin qui se repose...C'est Marcel Pagnol qui disait ça ?
Besos
Jack le pirate
je le retiens de pAgnol..vraiment bon:)
ces mots sont une belle promesse d'avenir enjoué noèse et cela me ravit :-)
bisou ma belle
je suis gâté par vos visites qui me tiennes bcp à coeur..Merci pour vos mots:)
Tu as des mots magiques...
Texte d'une infinie sensibilité. Chacun des mots, délicatement choisit, occupe une place de choix, là où il se doit.
Je m'incline devant autant de sensibilité et de talent.
Chère Noèse,
je suis contente car je viens d'entrer dans tes mots de ce poème. Va savoir pourquoi, j'étais venue mais étais restée sur le bas côté. C'est drôle les mots et nous, ce qu'on en vit, ce qu'on en fait.
Lôlà sur son motu
Enfants et parents dansent parfois d'un mouvement asynchrone, c'est une valse à contre temps, ou rien ne sert d'être en avance, quand au retard, il ne se comble pas.
Entre les musiques il y a des pauses, on en discute autour d'un verre et parfois, les sourires eux, embrassent les deux visages d'un même mouvement, au même moment.
L'expérience est toujours de bons conseils..merci
Une belle empreinte que sont tes mots . Ils savent se poser , s'interroger , et se donner en petites touches ... Ils suggèrent des interrogations sur la naissance de la vie ...
On croit ne jamais profiter assez de ceux et celles qui nous entourent mais nos regards sont ceux de l'amour ...
Ton texte est superbe ...
Douce journée ...
Amitiés ;o)
Des mots aux larmes
vous lire ne laisse pas indifférent
Merci de cette généreuse intimité,
Noèse,
et comme je donne raison au sous titre de ce blog!
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