mercredi 1 octobre 2008

Le mur


Tous les jours il doit faire semblant, que vivre avec les autres est quelque chose d'anodin.
Un effort gigantesque pour regarder les autres et sourire. Plus facile de sombrer, de rétrécir la vie à lui.
Mais à côté de lui, une femme le soutien, lui démontre mathématiquement que la vie est simple, il s'agit de respirer. Tu dois te battre lui répond-t-elle , quand il est ravagé et que le doute est plus grand que son amour.
Elle le regarde et les yeux tout mouillés par la maternité, respire les moments les plus doux , en baissant le coeur quand la tourmente est trop forte.
Mère et fils en haut de la solitude, se battent pour que tous les jours, la vie soit simplement le recommencement de la durée .
Mère de peur, inquiétude que la main ne soit pas assez serrée dans la sienne et le coeur si souffrant que demain on en aura pas assez donnée.


mere de moi
sans toi,tout m'effroi
ta présence réconfortante auprès de moi
bonheur que tu me rends je te remercie mille fois

si loin de moi
l'eau et la terre s.pare fils et mère
le soleil chaud,me raprochera de toi
dans si peu nous seront reunis
je suis ton âme poussante
mon rêve est que tu sois fier de moi
et alors à tout jamais je serai heureux dans ce monde auprès
de toi.

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