Il est resté coincé, tout défait devant lui
Pas encore capable de traverser au gué
Il reste de l'autre côté et personne pour l'aider même pas lui
Assit, il regarde déambuler le reste de sa vie
Je suis de l'autre côté je l'attendrai toute ma vie et toutes nos éternités.
Même sans signe, j'affronterai le débit à contre courant pour toucher sa main
Articles
11 commentaires:
Bonjour, Noèse.
J'ai parfois difficile à émettre un commentaire sur tes articles quand ils sont si personnels, alors je m'abstiens, tu comprends, hein ?
Merci Serge de ton passage..il fait du bien:)
idem Noèse, je ne sais jamais à quel point tu es touchée de près par ce que tu écris. Je continue d'être attentive en tout cas. Courage à toi.
Tes écrits sont des cris où parfois je me retrouve ... Cette sensibilité à fleur de peau , à fleur de mot ...
Oui il n'est pas facile de laisser un commentaire tant les phrases sont palpables ...
Douce journée ... Prends soin de toi ...
Je t'envoie toute ma tendresse amicale ...
Ah oui j'oubliais ... Le sourire ... :o)
Écrire pour moi a toujours été salvateur..Préciser la douleur pour bien la regarder , voir la bête dans les yeux. Moi c'est dire.
J'ai réussi à passer ,toucher sa main et maintenant ,ce n'était qu'un petit ruisseau:)
Mais là, mine de rien, la tête abaissé de tristesse, les yeux perdus dans le vague, c'est quand même le ciel qu'il regarde, non?
Les petits pas font souvent de grandes avancées... intérieures.
Oui Balomok..les pas qui ns rapprochent de ns même sont grands . Ils ouvrent aussi sur l'autre
je ressens trop tes mots, qui font ressurgir des douleurs en moi !
le vie file trop vite en ce moment, mon amitié et ma tendresse te sont acquises chère Noèse
Nanou
Belle atmosphère sur cette photo !
Enregistrer un commentaire