vendredi 16 janvier 2009
Moi et toi suivi de toi et moi
Tavole Italie
Trop grand pour vivre seul , il me regarde.
Il charrie beaucoup de souffrance ...mais les sillons ne sont pas amers.
Aux abords, il galère .
Son regard sur lui-même s'éteint.
M a voix au milieu qui l'attend.
Le prendre dans mes bras pour qu'il puisse regarder le ciel.
Deux vies dans une et un seul cœur pour y vivre.
Toute la blancheur du monde pour qu'il s'apaise.
Détourner les yeux quand sa vie se déchire..par respect.
Être debout devant lui quand tout s'effondre.
Ma main comme terre d'asile.
Mon corps comme deuxième souffle.
L'absolu ..lui, dans ma vie.
.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
18 commentaires:
Ta voix, tes bras, ton corps...pour lui...sérénité!
(superbe photo empreinte de plénitude...)
C'est beau, je ne trouve pas de mot..
HA! l'amour toujours l'amour!!!
Je voudrais être dans ce poème... avec lui...
Comme tu parles bien d'amour Noèse!
Ton père, Noèse ?
Magnifique..j espère que tu lui as lu!!
Le soir sur l'oreiller, la dernière chose qu'il attendra après une difficile semaine..surtout a -25!
Non Bérénice..mon mari!!!
J'ai cru, parce qu'ailleurs j'avais lu...
Ton billet, malgré tout subliminal, m'a projetée vers un de tes commentaires... l'imagination aidant, j'ai crée un autre contexte... veux tu bien m'excuser ? :-)
Une onde au cœur,
une sensation aux tripes,
Des montagnes pour aller plus haut...
Mais, est-ce possible ?
Juste un silence alors, pour dire que c'est beau.
Silencieusement, sur la pointe des pieds je te souhaite bonne nuit... l'écho me répondra...
ton mari, ton compagnon, j'aime ces mots... compagne, compagnon, celui qui nous accompagne sur le chemin, celui que nous accompagnons, car ça parle de voyage, de liberté, de découvertes et de voyage qui s'achève un jour. "Brise" est le mot qu'on me dit d'écrire...
Bérénice je t'excuse..:)!!!!!
C'est beau, c'est plein, c'est comme tu dis, absolu...
Personne n'a lu paul Géraldy?
Le titre......
Oui, il s'est intéressé essentiellement à la vie de couple... il avait écrit un texte assez sympa et tellement vrai... je vous le livre :
"Chérie, explique-moi pourquoi
tu dis: "MON piano, MES roses",
et: "TES livres, TON chien" ... pourquoi
je t'entends déclarer parfois:
"c'est avec MON argent à moi
que je veux acheter ces choses."
Ce qui m'appartient t'appartient !
Pourquoi ces mots qui nous opposent:
le tien, le mien, le mien, le tien?
Si tu m'aimais tout à fait bien,
tu dirais: "LES livres, LE chien"
et: "NOS roses".
Superbe citation..il a écrit aussi un livre sur un père qui apprend à son fils comment aimer les femmrd,,minuscule..
In 10 sur 10 pour toi Bérénice!
Merci Noèse, fille des Montagnes, telle Heïdi...
Enregistrer un commentaire